Un haut gradé de la gendarmerie nationale a ordonné la mise en garde à vue de plusieurs mères de famille à la brigade de Bare-Kekem. Cette intervention inhabituelle dans un conflit de chefferie traditionnelle soulève des questions sur l’utilisation des forces de l’ordre dans les affaires communautaires.
La détention de ces femmes, apparemment liée à des tensions au sein de la chefferie locale, interroge sur la proportionnalité de la réponse.
La présence d’un officier de ce rang dans une affaire de chefferie traditionnelle nécessite une analyse approfondie des enjeux.