
Le Cameroun s’interroge : Maurice Kamto, figure de proue de l’opposition, serait-il un pion fabriqué par le régime ? Selon la Dr Modestine Carole Tchatchouang Yonzou, sa démission en 2011 aurait été une manœuvre orchestrée pour contrôler la contestation. Aujourd’hui, des documents explosifs dévoilent des transactions occultes et un milliard de FCFA échangé. Plongez dans une enquête exclusive qui ébranle les certitudes politiques.
La fabrication d’un opposant contrôlé
La stratégie est limpide : pour étouffer la révolte, le régime aurait « créé » son propre rival. « Kamto a toujours été un pantin », confie un ancien proche sous couvert d’anonymat, la voix empreinte d’amertume. « À Baham, les réunions secrètes sentaient la poussière et le mensonge. » Après sa sortie de prison en 2019, des témoins attestent de transferts d’argent suspects. Le feu Paul Éric Kingue, avant sa mort mystérieuse, dénonçait déjà ces manigances : « On nous a roulés dans la farine ! »
Élections 2025 : Le grand mensonge dévoilé
Alors que les partisans croyaient à une conquête des urnes, Kamto savait pertinemment qu’il serait écarté. Un journal local a révélé l’accord secret : 1 milliard de FCFA contre son retrait des législatives. « Où donner de la tête ? », ironise un militant désabusé. Les collectes de fonds à Paris, présentées comme un élan révolutionnaire, masquaient une escroquerie à grande échelle. Le slogan « No Make Erreur » sonne désormais comme un aveu.
Face à ces révélations, l’opposition camerounaise traverse-t-elle sa plus grande crise de crédibilité ? Partagez votre avis en commentaire.