Une affaire choquante secoue la communauté camerounaise du Canada. Luc Noubissie, 31 ans, fait face à des accusations graves à Montréal pour avoir sciemment transmis le VIH à sa partenaire, un acte qualifié de “négligence criminelle” par la justice canadienne.
Les faits sont accablants : diagnostiqué séropositif depuis 2014, l’accusé a délibérément refusé de prendre son traitement, mettant consciemment en danger la vie de sa partenaire. La justice canadienne considère cet acte comme une forme de violence délibérée.
Face à la gravité des accusations, la stratégie de défense semble dérisoire. Ses avocats plaident pour une peine purgée à domicile, une requête qui soulève l’indignation compte tenu de la gravité des faits reprochés à leur client de Saint-Hubert.
Le tribunal de Montréal doit maintenant envoyer un message clair : la transmission volontaire du VIH est un crime grave qui mérite une sanction exemplaire. Cette affaire rappelle la responsabilité individuelle dans la lutte contre le SIDA et l’importance du respect des traitements médicaux.
L’image de la communauté camerounaise du Canada se trouve malheureusement éclaboussée par ce scandale qui soulève des questions éthiques profondes sur la responsabilité individuelle en matière de santé publique.
