
Les scandale sexuel police Cameroun explose sur la toile : depuis 24 h, des vidéos explicites tournées dans un bureau officiel dévoilent deux fonctionnaires en pleine dépravation. Plus de 3 000 partages en dix heures, selon le cabinet DataTrack. Pourquoi et comment ce dérapage s’est-il produit ? 237online creuse, preuves à l’appui.
Scandale sexuel police Cameroun : enquĂŞtes express et suspensions
À 8 h, le délégué général Martin Mbarga Nguele signait la suspension de Christelle Eboa, agent filmée, et du commissaire divisionnaire Josué Ossomo, dont le bureau – et le smartphone – servaient de plateau. Article 83 du règlement disciplinaire activé : enquête interne sous 72 h.
Un signal d’alarme sur l’éthique policière
« Si on laisse passer, c’est la porte ouverte au dérapage moral », alerte Me Roland Manga, avocat au barreau du Cameroun.
Les chiffres parlent : 14 plaintes citoyennes pour « atteinte aux bonnes mœurs » reçues hier, d’après la Commission nationale des droits de l’homme. Les ONG réclament un audit sérieux et un renforcement des contrôles.
68 % des répondants à notre mini-sondage Telegram jugent l’image de la police « gravement écornée ». Un ex-formateur de l’École nationale supérieure de police confie : « L’éthique n’est plus qu’un slogan ». Entre rumeurs WhatsApp et indignation publique, l’affaire pèse lourd ; le gouvernment promet transparence totale.
Des réformes seront-elles enfin lancées ou restera-t-on au simple effet d’annonce ? Votre point de vue compte.