Une tentative éhontée de récupération politique vient d’être démasquée dans l’affaire des femmes séquestrées à l’Hôpital Gynéco-Obstétrique et Pédiatrique de Yaoundé (HOGPY). Selon les informations exclusives obtenues par 237online.com, le ministre de la Santé Malachie Manaouda tente de s’approprier le mérite d’une action humanitaire qu’il n’a pas posée.
Contrairement aux allégations mensongères diffusées par Claver Nken, le Celcom du Minsanté, et relayées par certains médias complaisants, c’est le Révérend Pasteur Emmanuel Noël Bissaï, Président du Conseil d’Administration de RENAPROV FINANCE SA, qui a personnellement réglé les factures des 16 femmes retenues. Notre enquête approfondie révèle les dessous de cette manipulation médiatique orchestrée par le cabinet du ministre.
La machine à propagande du Minsanté démasquée
Pendant que Claver Nken s’évertuait à construire une image factice de son patron, des femmes et leurs nouveau-nés croupissaient dans les couloirs de l’HOGPY. Le ministère préfère visiblement investir dans la manipulation de l’opinion plutôt que dans le bien-être des patients. Cette stratégie de communication mensongère témoigne du mépris affiché envers les Camerounais.
Cette tentative de récupération politique suscite une vague d’indignation sans précédent. Comme le rappelle Stéphane Edzigui, “pendant que les uns détournent des milliards pour des futilités, d’autres utilisent leurs modestes moyens pour aider les plus démunis”. Le contraste est saisissant entre l’action concrète du Révérend Bissaï et les manœuvres médiatiques du ministre.