Paul Biya force Macron avouer des crimes ► Victoire !


Paul Biya force Macron à avouer des crimes dans un rapport de force diplomatique historique qui aboutit à la lettre présidentielle française du 30 juillet 2025. Cette contrainte exercée par le président camerounais contraint l’Élysée à reconnaître officiellement les « violences répressives de nature multiple » commises durant la décolonisation. Cette pression diplomatique de 42 ans porte enfin ses fruits avec l’aveu explicite des crimes coloniaux français contre l’UPC. Une démonstration de force qui place Paul Biya en position de vainqueur face à la France dans ce bras de fer mémoriel.

Pression implacable : Biya contraint Paris aux aveux

Paul Biya force Macron à avouer des crimes grâce à une stratégie de pression diplomatique méthodique déployée depuis des décennies. « Il me revient d’assumer aujourd’hui le rôle et la responsabilité de la France dans ces événements », déclare finalement Macron, cédant aux exigences camerounaises.

Cette capitulation française résulte de la persévérance inflexible du président camerounais. En 2022, Paul Biya avait arraché à Macron « l’engagement solennel d’ouvrir nos archives en totalité » lors de sa visite à Yaoundé, première victoire dans ce bras de fer.

La commission mixte franco-camerounaise imposée par Paul Biya livre des preuves accablantes. « 7 500 combattants tués entre 1956 et 1962 » selon les chiffres officiels, potentiellement « plusieurs dizaines de milliers » en réalité, contraignent la France aux aveux.

Les « violences répressives de nature multiple » exercées par « les autorités coloniales et l’armée française » sont désormais officiellement admises sous la pression camerounaise. Cette reconnaissance forcée constitue une victoire diplomatique sans précédent.

Rapport de force : Cameroun impose sa vérité à la France

Cette dynamique où Paul Biya force Macron à avouer des crimes révèle l’évolution du rapport de force franco-africain. Le président camerounais démontre qu’un dirigeant africain expérimenté peut contraindre l’ancienne puissance coloniale à la transparence.

« La guerre s’est poursuivie au-delà de 1960 avec l’appui de la France », reconnaît officiellement Macron sous la contrainte des preuves rassemblées. Cette admission dépasse largement ce que la diplomatie française était prête à concéder initialement.

Le timing de cette reconnaissance, imposé par Paul Biya à quelques semaines de sa réélection, témoigne de sa maîtrise du calendrier diplomatique. Macron n’avait d’autre choix que de céder à cette pression temporelle.

Mathieu Njassep, président des vétérans camerounais, bénéficie désormais de cette victoire pour réclamer des réparations. « La France a commis beaucoup de crimes au Cameroun », déclare-t-il, armé de cette reconnaissance arrachée par Paul Biya.

Le fait que Paul Biya aie pu forcer Macron à avouer des crimes illustre la transformation des relations franco-africaines sous l’impulsion d’un leader déterminé. Aucun autre dirigeant du continent n’avait réussi à contraindre Paris à de tels aveux sur les crimes coloniaux.

Cette victoire diplomatique inspirera-t-elle d’autres leaders africains à exiger des comptes de leurs anciennes puissances coloniales ?



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