Marc Brys ► Révélation explosive sur son départ


Marc Brys Cameroun : l’affaire secoue de nouveau le football national. Alors que le sélectionneur belge annonçait dans un courrier officiel daté du 21 juillet sa décision de résilier son contrat pour non-paiement, un retournement spectaculaire survient. Deux jours plus tard, Marc Brys dément catégoriquement avoir démissionné. Vous saurez pourquoi cette confusion pourrait redessiner le paysage footballistique camerounais.

Lettre de rupture ou manipulation ? Un flou judiciaire gênant

Le 21 juillet, un courrier signé Marc Brys adressé au Ministre des Sports invoque la résiliation unilatérale de son contrat pour non-paiement durant 60 jours. Le document, assorti d’un ton ferme, exige également une indemnisation immédiate.

Dans la foulée, la FECAFOOT, par un communiqué officiel N°058/FECAFOOT/PDT/SG, prend acte de cette “rupture unilatérale“, saluant la fin d’une “relation contractuelle instable”.

Mais coup de théâtre : le 23 juillet, Brys écrit de nouveau — cette fois pour démentir catégoriquement toute volonté de démissionner. Il évoque un piratage de sa messagerie et regrette une manipulation orchestrée : « Je n’ai jamais rédigé ni transmis un quelconque courrier de démission », écrit-il au Ministre des Sports. L’ancien entraîneur de Louvain s’étonne surtout qu’aucune autorité ne l’ait contacté avant de diffuser cette information à grande échelle.

Ce double discours soulève de lourdes questions. Qui dit vrai ? La lettre du 21 juillet contient sa signature. Mais sa déclaration du 23 jette un doute sérieux sur l’authenticité de l’initiative. Pour l’expert en droit du sport, Me Kemleu, joint par 237online, « la contradiction est dommageable pour la FECAFOOT comme pour l’État. Elle affaiblit l’image de notre gouvernance footballistique ».

Dans ce contexte explosif, la CAN 2025 prévue en décembre approche dangereusement. Le Cameroun n’a plus de certitude sur son sélectionneur ni sur la stabilité administrative de son staff.

Marc Brys ou la chronique d’une rupture annoncée, peut-être… mais jamais confirmée ? Pour l’heure, c’est l’image même de la gestion sportive nationale qui vacille.



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