
D’après 237online.com, Frida Joko, deuxième adjointe au maire, a été sauvagement assassinée quelques heures seulement après avoir assisté à la projection d’un film sur le président Paul Biya. L’élue avait été aperçue aux premiers rangs de cet événement culturel qui s’est transformé en piège mortel.
Des éléments séparatistes infiltrés lors de la projection auraient suivi leur cible avant de passer à l’action. Ce modus operandi révèle une surveillance étroite des personnalités publiques par les groupes armés, instaurant un climat de terreur sans précédent.
Cette exécution symbolique marque une escalade inquiétante dans la stratégie des groupes armés. En ciblant une élue participant à un événement culturel, les séparatistes envoient un message glaçant à tous ceux qui osent participer aux activités officielles dans la région.
La découverte macabre du corps de Frida Joko, baignant dans son sang à un carrefour, témoigne de la volonté des assassins de créer un impact psychologique maximal.