Jean De Dieu Momo Cameroun ► Paul Biya 92 ans


Jean De Dieu Momo Cameroun défend avec ferveur Paul Biya à 92 ans comme « garant de l’équilibre national » dans un message percutant publié sur les réseaux sociaux. Le ministre délégué à la Justice et président du PADDEC entre véritablement en campagne pour son allié politique, louant l’héritage de « l’homme Lion » sur diverses plateformes. Cette sortie médiatique intervient dans un contexte électoral tendu où l’âge du président suscite des débats passionnés. Des déclarations qui relancent la polémique sur la candidature du doyen des chefs d’État africains pour octobre 2025.

Vision et expérience : « Assurance pour l’avenir »

Jean De Dieu Momo ne mâche pas ses mots dans sa défense du président Paul Biya. Le ministre délégué affirme que soutenir le chef de l’État n’est pas une question d’âge mais de compétence.

«À 92 ans, il n’est pas simplement le doyen des chefs d’État. Il est l’incarnation d’un héritage politique, la mémoire stratégique de la République, et le garant de l’équilibre national», écrit-il avec conviction.

Pour le président du PADDEC, Paul Biya représente la stabilité dans un monde incertain. «Pendant que d’autres changent de discours au gré des tendances, lui tient le cap», souligne Jean De Dieu Momo dans son plaidoyer.

Lucidité face à l’instabilité mondiale

Le ministre délégué à la Justice présente la réélection de Paul Biya comme une nécessité stratégique pour le Cameroun. Il oppose l’expérience présidentielle aux promesses de l’opposition.

«Pendant que certains promettent sans jamais livrer, lui construit, lentement mais sûrement, une nation qui tient debout malgré les crises, malgré les attaques, malgré les doutes», martèle-t-il.

Jean De Dieu Momo insiste sur l’expertise diplomatique et économique du président. «À l’heure où le monde devient imprévisible, instable, nous avons besoin d’un repère. Un homme qui connaît les rouages de l’État, les pièges de la diplomatie, les enjeux économiques globaux».

Cette défense passionnée illustre la mobilisation des cadres du régime autour de la candidature présidentielle.

«Ce n’est pas un âge qu’on élit. C’est une vision. Ce n’est pas une barbe blanche qu’on suit. C’est une expérience rare, précieuse, lucide», conclut le ministre avec emphase.

Cette stratégie de communication convaincra-t-elle les électeurs camerounais ?



Source link

View Kamer

FREE
VIEW