
Dans un contexte de désinformation galopante sur les réseaux sociaux, 237online.com rétablit la vérité sur le tragique accident survenu à Mbalmayo. Contrairement aux allégations virales, les cortèges des ministres NGANOU DJOUMESSI et Paul MOTAZE ne sont pas responsables du décès d’une jeune écolière.
La vérité derrière le drame de Ngallan
Notre enquête approfondie révèle que la tragédie s’est déroulée sur l’axe Mbalmayo-Yaoundé, où un camion a percuté une moto transportant une élève de l’école publique de Ngallan. “Le drame s’est produit bien avant l’arrivée des autorités ministérielles,” confirme un témoin oculaire interrogé par notre équipe. Les roues arrière du poids lourd ont malheureusement écrasé la jeune victime après la collision initiale.
Un élan de compassion des autorités
Contrairement aux rumeurs malveillantes circulant sur les réseaux sociaux, les ministres des Travaux Publics et des Finances ont fait preuve d’humanité. En route pour le lancement de la construction de la route Olounou-Oveng à Sangmelima ils se sont immédiatement arrêtés sur les lieux du drame.
“Les deux ministres ont suspendu leur programme pour s’enquérir personnellement de la situation et apporter leur soutien aux familles endeuillées,” témoigne un responsable local présent sur les lieux. Cette réaction spontanée démontre leur engagement envers les populations, loin des accusations infondées propagées sur les réseaux sociaux.
Les dangers de la désinformation
Cet incident souligne la nécessité d’une information responsable et vérifiée. La propagation de fausses nouvelles peut non seulement nuire à la réputation des personnes visées mais aussi exacerber la douleur des familles touchées par ce drame.
Les faits établis :
- L’accident a été causé par un camion, non par les cortèges ministériels
- La victime circulait à moto lorsqu’elle a été percutée
- Les ministres se sont arrêtés pour apporter leur soutien
- Leur destination était le lancement d’un projet routier important
Cette tragédie rappelle l’urgence de renforcer la sécurité routière, particulièrement pour les usagers vulnérables comme les élèves. Elle souligne également l’importance de la vérification des informations avant leur partage sur les réseaux sociaux.