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Cameroun – Pr NGUIHE KANTÉ ► Artisan de la cohésion nationale


Alors que les tensions post-électorales font frémir plusieurs villes du Cameroun, le Pr Pascal NGUIHE KANTÉ, ministre secrétaire général adjoint des services du Premier ministre, a réuni le 22 octobre 2025 à Bafoussam les acteurs majeurs de la Mifi pour une concertation inédite.
Objectif : préserver la paix et la cohésion sociale au lendemain d’une présidentielle sous haute tension.
Chefs traditionnels, leaders religieux, associations de jeunes et forces vives locales ont répondu présents à l’appel du ministre, symbole d’unité et de lucidité politique.
Peut-on encore espérer que la raison l’emporte sur la passion ? C’est la grande question qui anime aujourd’hui les esprits à Bafoussam.

🟩 Un rassemblement inédit pour apaiser les esprits

La salle de réunion de la CAPLAMI a servi de cadre à une rencontre exceptionnelle. Autour du Pr NGUIHE KANTÉ, on retrouvait le deuxième adjoint préfectoral de la Mifi, l’imam de la mosquée centrale, des maires, des chefs traditionnels, mais aussi des responsables d’associations de jeunes et de femmes.
Tous ont tenu le même discours : la paix n’est pas une option, c’est un devoir collectif.

« Notre pays est fragile. Si nous laissons la colère nous diviser, c’est l’avenir de nos enfants qui s’effondre », a lancé un chef de groupement, sous des applaudissements nourris.

Cette initiative, saluée par plusieurs participants, intervient à un moment crucial où les réseaux sociaux chauffent à blanc, attisant parfois des rumeurs dangereuses.
À la Mifi, on a choisi la voie du dialogue républicain, fidèle à l’esprit de tolérance propre à l’Ouest.

🟦 Le Pr NGUIHE KANTÉ, bâtisseur discret d’unité nationale

Universitaire respecté et homme d’État expérimenté, le Pr Pascal NGUIHE KANTÉ s’impose peu à peu comme l’un des visages du Cameroun apaisé que beaucoup appellent de leurs vœux.
En initiant cette rencontre, il a voulu prévenir les dérives post-électorales et rappeler que la stabilité du pays ne se négocie pas.

« La République a besoin de calme et de responsabilité. Chacun doit contribuer à la paix, dans sa maison, dans son quartier, dans son cœur », a-t-il déclaré d’une voix grave.

Proche du terrain, le ministre-professeur a aussi appelé les jeunes à ne pas tomber dans le piège des manipulations numériques.
« Ce n’est pas sur Facebook qu’on construit un pays », a-t-il lâché dans un ton à la fois ferme et paternel, rappelant que le vivre-ensemble reste le plus grand trésor de la nation.

Selon plusieurs observateurs, cette démarche s’inscrit dans une stratégie gouvernementale d’apaisement avant la proclamation des résultats officiels prévue le 27 octobre 2025.
Mais au-delà des discours, c’est le charisme calme et rassembleur du Pr NGUIHE KANTÉ qui a marqué les esprits ce jour-là à Bafoussam.

🟧 Bafoussam, un modèle de cohésion pour tout le Cameroun

De cette concertation est née ce que plusieurs appellent déjà “la Déclaration de Bafoussam” : un texte d’engagement collectif en faveur de la paix, signé symboliquement par les représentants de toutes les composantes de la Mifi.
Le message est clair : ni violence, ni repli, ni division.

« Nous sommes tous Camerounais avant tout. Ce pays est notre maison commune », a insisté un responsable de la société civile présent dans la salle.

Cette initiative locale pourrait inspirer d’autres départements. À un moment où certains redoutent des débordements, la Mifi choisit de faire confiance à la République, tout en affirmant sa maturité citoyenne.

🟨 Une lueur d’espoir au-delà des tensions

L’histoire retiendra peut-être que c’est à Bafoussam, ce 22 octobre 2025, qu’un message d’unité a été lancé dans une période de tourmente nationale.
En ramenant les citoyens au dialogue, le Pr Pascal NGUIHE KANTÉ a rappelé qu’un pays ne se construit pas dans la rue, mais dans la conscience collective.

Et vous, lecteurs : pensez-vous que l’exemple de la Mifi peut inspirer d’autres régions du Cameroun ?



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