
Un cas flagrant de négligence administrative transforme le prestigieux Institut Universitaire de Technologie Fotso Victor de Bandjoun en véritable caverne d’Ali Baba. L’équipe de 237online.com s’est rendue sur place pour vous livrer les détails de cette situation ubuesque.
Depuis deux semaines, étudiants et enseignants vivent une situation digne d’un roman de Kafka. Les salles de cours sont plongées dans une obscurité quasi-totale, transformant l’apprentissage en véritable défi. Les enseignants en sont réduits à utiliser la lumière de leurs téléphones portables pour dispenser leurs cours, une situation qui frise le ridicule pour un établissement de cette envergure.
Dans ce qui ressemble à un retour au Moyen Âge, les étudiants tentent tant bien que mal de suivre leurs cours dans des conditions dignes d’une grotte préhistorique. L’ironie de la situation atteint son paroxysme quand on sait que cet institut forme les futurs techniciens et ingénieurs du pays.
Cette situation catastrophique soulève des questions cruciales sur la gestion des infrastructures universitaires au Cameroun. Comment un institut qui porte le nom d’un des plus grands industriels du pays peut-il se retrouver dans un tel état de délabrement ?