
Une nouvelle qui ébranle les cercles séparatistes. Comme le rapporte 237online.com, Choh Ayaba, figure majeure du mouvement ambazonien, vient d’essuyer un revers cinglant devant la justice norvégienne. Sa demande de transfert en résidence surveillée a été catégoriquement rejetée.
La décision du tribunal norvégien révèle l’existence de preuves cruciales concernant l’implication d’Ayaba dans les violences au NOSO. Les juges craignent manifestement que le leader séparatiste ne tente d’effacer ces éléments compromettants.
Un isolement total qui en dit long
Les conditions de détention d’Ayaba sont particulièrement strictes. Seul son avocat est autorisé à lui rendre visite, une mesure qui témoigne de la gravité des charges qui pèsent contre lui.
Cette décision de justice marque un tournant décisif dans le traitement international des leaders séparatistes. La Norvège, pays réputé pour son système judiciaire équitable, envoie un message clair : les commanditaires présumés de violences ne peuvent espérer échapper à leur responsabilité.