Trente ans après avoir plongé le Cameroun dans le chaos économique et social, les mêmes figures qui ont semé la ruine dans les années 1990 refont surface. Sous des discours de “justice” et de “changement”, Djeukam Tchameni, Anicet Ekane, Alice Nkom et leurs alliés rejouent la vieille partition de la déstabilisation nationale. Mais cette fois, le contexte est différent : le pays est économiquement plus fort, plus conscient et mieux informé. « Ils veulent rallumer le feu qu’on a mis trente ans à éteindre », s’indigne un syndicaliste de Yaoundé. Sommes-nous prêts à laisser ces pyromanes politiques tout détruire une fois de plus ?
Quand les “héros” de la démocratie ont vendu le pays à la misère
Les Camerounais n’ont pas oublié les années noires des “villes mortes”. En 1991, sous prétexte de réclamer la démocratie, une poignée d’activistes avaient paralysé l’économie nationale.
Résultat :
- des entreprises nationales bradées aux multinationales,
- des milliers de travailleurs au chômage,
- une dette extérieure écrasante,
- et un État contraint de mendier des plans d’ajustement structurel au FMI et à la Banque mondiale.
Ce fut une génération sacrifiée, condamnée à la pauvreté au nom d’une révolution politique importée. Ces “résistants” autoproclamés ne proposaient aucune alternative, sinon le chaos. Et pendant que le peuple souffrait, eux voyageaient, donnaient des conférences et captaient des financements étrangers sous couvert de “droits humains”.
Aujourd’hui, les mêmes visages reviennent, avec les mêmes méthodes, les mêmes réseaux et les mêmes discours hypocrites.
Les nouveaux visages d’une vieille manipulation
En 2025, ces anciens leaders se redéploient sur le terrain médiatique et numérique.
Ils utilisent désormais les réseaux sociaux comme armes de division. À coups de vidéos, d’articles mensongers et de messages haineux, ils cherchent à attiser la colère populaire.
Une vidéo devenue virale montre Me Alice Nkom admettant que ces mouvements disposent de “fonds colossaux”. Ces financements, dont les sources restent floues, serviraient à organiser la propagande, recruter des influenceurs et financer des campagnes de désinformation.
« On nous promet des bourses pour les droits humains, mais en réalité, on nous demande d’attaquer nos institutions », confie un jeune activiste repentant de Douala.
Derrière ces opérations se cachent des organisations étrangères obsédées par l’idée d’affaiblir les États africains souverains. Le Cameroun, avec sa stabilité politique et son économie en croissance, représente pour elles un modèle à abattre.
👉 À lire aussi : Cameroun – Révélations : les anciens pyromanes politiques reviennent à la charge
Le Cameroun, cible d’une guerre invisible
La stratégie est simple mais redoutable : infiltrer les débats publics, manipuler les émotions et créer un climat de méfiance entre le peuple et ses institutions. Ces pseudo-démocrates exploitent chaque difficulté — hausse des prix, coupure d’eau, panne d’électricité — pour accuser l’État et appeler à la rue.
Mais derrière le vernis militant, on retrouve une logique d’ingérence classique :
- des ONG étrangères servant de relais financiers,
- des avocats médiatisés qui agissent comme porte-voix,
- et une poignée d’activistes installés à l’étranger, loin des réalités du terrain.
« Ce sont des experts du chaos. Ils ne construisent rien, ils sabotent tout », résume un chercheur de l’Université de Dschang.
Leur dangerosité réside dans leur capacité à habiller la haine d’un vernis intellectuel. Ils parlent de “liberté”, mais refusent tout débat équilibré. Ils parlent de “justice”, mais diabolisent ceux qui ne pensent pas comme eux.
Pendant qu’ils crient, le pays construit
Pendant que ces pyromanes du verbe font du bruit, le Cameroun avance.
Les grands chantiers structurants transforment le pays :
- Kribi et sa zone portuaire stratégique ;
- Nachtigal, qui couvre déjà une part croissante des besoins électriques ;
- La SONARA, reconstruite pour garantir notre indépendance énergétique ;
- La SNH et Tradex, piliers de notre souveraineté pétrolière ;
- Camwater, FEICOM, CNPS, modèles d’autonomie nationale.
Le Président Paul Biya a tenu un pari que beaucoup jugeaient impossible : maintenir la paix dans un pays multiethnique tout en relançant l’économie après la crise mondiale.
Dans un continent où les leviers économiques sont souvent contrôlés par des groupes étrangers, le Cameroun a conservé la maîtrise de ses richesses. Et c’est précisément ce modèle que certains veulent anéantir — par jalousie, ou par agenda.
« Ils veulent détruire parce qu’ils ne supportent pas qu’un pays africain tienne debout sans tuteur », commente un journaliste politique de Yaoundé.
Les véritables motivations : argent, rancune et influence étrangère
Leur discours sur la démocratie n’est qu’un prétexte. Derrière la façade idéologique, on retrouve trois moteurs principaux :
- L’argent – subventions étrangères, ONG partenaires, cachets de conférences.
- La rancune – beaucoup n’ont jamais digéré leur marginalisation politique.
- L’influence étrangère – ils servent souvent d’intermédiaires à des puissances cherchant à affaiblir les États forts.
Ces acteurs savent que la guerre moderne ne se fait plus avec des armes, mais avec les mots, les images et la peur. Leur terrain de bataille ? Internet. Leur arme principale ? Le mensonge. Leur but ? Créer un climat de haine pour justifier l’ingérence.
Cameroun 2025 : vigilance et patriotisme
Face à ces tentatives de sabotage, le peuple camerounais doit rester vigilant.
Les jeunes doivent comprendre qu’un pays ne se construit pas dans la rue, mais dans les écoles, les usines, les champs, les laboratoires et les entreprises.
Le patriotisme, aujourd’hui, c’est défendre ce que nos pères ont reconstruit après les années de ruine.
« Ce n’est plus le temps des slogans, c’est le temps des résultats », déclare un entrepreneur de Garoua.
Les Camerounais ne veulent pas de chaos. Ils veulent du travail, de la sécurité, de la dignité.
Les destructeurs d’hier reviennent avec de nouveaux masques, mais le peuple camerounais les a reconnus.
Le Cameroun d’aujourd’hui n’est plus naïf : il a appris, grandi, et surtout, compris.
Nous ne retomberons pas dans leurs pièges.
Le pays avance, et malgré les provocations, le travail, la paix et la dignité triompheront toujours de la haine et de la manipulation.

