Atanga Nji : Révélations choc sur son passé criminel ⚠️


Les révélations explosives de Maître Mustapha Ngouana sur le ministre de l’Administration territoriale secouent l’opinion publique camerounaise. Dans une sortie médiatique fracassante, l’avocat au barreau du Cameroun a levé le voile sur le parcours controversé de Paul Atanga Nji, qu’il n’hésite pas à qualifier d’”ex-feyman” propulsé aux plus hautes sphères de l’État.

Un passé trouble qui interroge sur sa légitimité politique

Il faut parfois interroger le passé des individus pour comprendre pourquoi ils agissent d’une certaine manière“, affirme d’emblée Me Ngouana, dont les propos ont été largement relayés sur les réseaux sociaux. Selon l’avocat, Paul Atanga Nji serait “le seul ministre au Cameroun qui a dans son CV des délits de droits communs”. Une accusation grave qui soulève des questions fondamentales sur les critères de nomination aux postes ministériels dans notre pays.

Cette sortie intervient dans un contexte où les décisions controversées du MINAT suscitent de vives tensions, notamment dans la gestion des partis politiques d’opposition. D’après les analyses des experts politiques, cette situation pourrait fragiliser davantage la confiance des citoyens envers les institutions camerounaises.

Des pratiques politiques qui défient l’État de droit

Me Ngouana ne mâche pas ses mots lorsqu’il évoque les méthodes de gouvernance d’Atanga Nji. “Il est toujours en porte à faux avec la justice”, dénonce-t-il, avant d’ajouter que le ministre “adoube la forfaiture” en recevant “des leaders déchus du PCRN, des leaders déchus de l’UPC” et en traitant la succession au sein du MDR comme “héréditaire“.

Ces allégations de “rébellion” contre les décisions de justice par un ministre censé incarner l’autorité de l’État résonnent particulièrement dans un pays où l’indépendance de la justice fait régulièrement débat. Plusieurs observateurs estiment que ces pratiques, si elles étaient avérées, constitueraient un dangereux précédent dans l’histoire politique de notre nation.

Des compétences remises en question par des scandales à répétition

L’avocat n’épargne pas non plus les compétences professionnelles du ministre. “Le MINAT est un anglophone qui ne sait pas parler anglais”, s’étonne Me Ngouana, ajoutant qu’Atanga Nji aurait “ramené les faux observateurs de Transparency International et tenté de “vendre des kits Covid au ministère de la Santé”.

Ces accusations de malversations interviennent alors que la lutte contre la corruption figure parmi les priorités affichées par les autorités camerounaises. Si ces allégations n’ont pas encore fait l’objet d’une enquête officielle, elles alimentent néanmoins les débats sur l’intégrité des hauts responsables de l’administration.

Par Laurent Diby pour 237online.com



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