Appel à l’insurrection au Cameroun ► Vidéo virale !


Un appel à l’insurrection au Cameroun enflamme les réseaux sociaux avec une vidéo devenue virale suite à l’audience du Conseil constitutionnel dans le cadre du contentieux préélectoral. Cette séquence controversée aurait lancé un véritable appel à la désobéissance civile selon plusieurs observateurs politiques. L’enregistrement fait le tour des plateformes numériques en suscitant de vives réactions au sein de l’opinion publique camerounaise. Une polémique qui intervient à quelques semaines du scrutin présidentiel d’octobre 2025.

Contenu explosif : message direct aux candidats révélé

La vidéo de cet appel insurrection Cameroun interpelle directement les candidats dont les recours n’ont pas abouti devant le Conseil constitutionnel. « On serait bien tenté de se poser la question de savoir de quel droit parle-t-on ? Celui des réseaux sociaux ou alors celui qui a été dit le 1er 5 août 2025 ? », questionne un internaute.

Cette référence temporelle précise fait écho aux décisions rendues par l’institution constitutionnelle. Le timing de cette sortie, au cœur des 48 heures du contentieux préélectoral, ne relève manifestement pas du hasard selon les analystes politiques.

Le ton employé dans cet enregistrement tranche avec la retenue habituelle du débat politique camerounais. « C’est à la guerre comme à la guerre », lance le message en appelant ouvertement à porter « atteinte à l’intégrité physique de certaines personnalités ».

Cette escalade verbale inquiète les observateurs démocratiques. L’appel à l’insurrection au Cameroun franchirait ainsi une ligne rouge dans le processus électoral en cours.

Réactions institutionnelles : appel au calme face menaces

Les autorités restent vigilantes face à cet appel à l’insurrection au Cameroun qui circule massivement sur les plateformes numériques. « On ne peut pas être dans un pays et appeler au menacement du passage le président du Conseil constitutionnel », réagit un responsable institutionnel sous anonymat.

Cette vidéo virale soulève des questions fondamentales sur les limites de la liberté d’expression en période électorale. Le message vise explicitement les « chefs des missions diplomatiques du Cameroun à l’étranger » et évoque des « fonctions non reconnues ».

Les allusions aux « candidats pour lesquels ils ont des affinités » alimentent les suspicions sur les motivations politiques. Cette polarisation intervient alors que le pays s’apprête à vivre des échéances électorales cruciales.

L’appel à l’insurrection au Cameroun révèle les tensions profondes du processus démocratique. Les autorités appellent au calme et au respect des institutions républicaines face à cette montée des extrêmes.

Cette polémique numérique risque-t-elle de déstabiliser davantage le climat préélectoral camerounais ?



Source link

View Kamer

FREE
VIEW