Le Challenge Fighting Championship de Francis Ngannou vient de consacrer 9 combattants camerounais sur 11 lors de sa 3e édition électrisante. Cette domination écrasante face aux adversaires étrangers confirme que le Cameroun devient la nouvelle capitale africaine des arts martiaux mixtes. Les primes record de 500 000 FCFA ont fait vibrer le Palais des Sports bondé.
Ngannou transforme le MMA camerounais en machine de guerre
Le « Predator » ne fait pas les choses à moitié. Son CFC applique désormais des standards professionnels dignes de l’UFC européen, attirant les meilleurs combattants du continent et d’ailleurs.
«On n’a jamais vu ça au Cameroun, c’est du niveau mondial direct!», s’exclamait un entraîneur présent dans les coulisses. Les chiffres parlent d’eux-mêmes: seulement deux défaites camerounaises sur onze confrontations. Une performance qui fait trembler les autres nations africaines.
Les vaincus ne repartent pas les mains vides non plus. Avec 250 000 FCFA garantis même en cas de défaite, Ngannou prouve qu’il respecte chaque guerrier qui monte sur le ring. C’est ça aussi la philosophie du champion du monde.
Le Cameroun, nouvelle terre promise du combat africain
Cette troisième édition marque un tournant décisif. Les promoteurs internationaux commencent à regarder Yaoundé différemment. Normal, quand on voit le niveau d’organisation et l’engouement populaire!
Francis Ngannou ne se contente pas de briller à l’international. Il construit méthodiquement l’avenir du sport camerounais. «Le CFC nourrit le rêve de toute une génération», affirme un jeune combattant de Douala venu assister aux combats.
Dans les autres pays africains, on envie cette chance d’avoir un tel ambassadeur. Le Nigeria, le Sénégal, l’Afrique du Sud… tous aimeraient avoir leur Francis Ngannou. Mais c’est bien au Cameroun que cette révolution du MMA africain s’écrit.
Le succès du CFC dépasse largement le cadre sportif. C’est devenu un symbole d’espoir et d’excellence pour tout le continent. Les jeunes Camerounais voient maintenant qu’ils peuvent réussir dans ce sport au plus haut niveau, sans forcément s’exiler.
Avec de tels résultats, combien de futures stars camerounaises le CFC va-t-il révéler?