Nkuete sans voir Biya dépose candidature → Choc !


Jean Nkuete candidature Paul Biya 2025 a été déposée ce jeudi 17 juillet à ELECAM, mais une révélation troublante de l’influenceur Boris Bertolt bouleverse la donne. Le Secrétaire Général du RDPC n’aurait pas rencontré le président depuis des mois et recevrait ses instructions du SGPR Ngoh Ngoh et du DCC Mvondo Ayolo. Une situation inédite qui interroge sur les vrais circuits du pouvoir au Cameroun. Comment peut-on déposer une candidature présidentielle sans contact direct avec le candidat ?

SG du RDPC coupé de Paul Biya : les révélations

Boris Bertolt lève le voile sur une réalité méconnue du fonctionnement interne du parti au pouvoir. «Jean Nkuete, SG du comité central du RDPC qui dépose la candidature de Paul Biya, n’a pas rencontré le chef de l’État depuis des mois», révèle l’influenceur dans ses publications.

Cette information soulève des questions fondamentales sur l’autonomie réelle du Secrétaire Général du RDPC. Comment peut-il porter la voix du parti sans échanges directs avec son leader historique ? Le système semble fonctionner par intermédiaires.

Selon Boris Bertolt, Jean Nkuete recevrait désormais ses directives exclusivement de Ferdinand Ngoh Ngoh (SGPR) et Samuel Mvondo Ayolo (DCC). Cette configuration redessine la cartographie du pouvoir camerounais et révèle peut-être une centralisation accrue autour de la présidence.

Dépôt sous contrôle de l’administration présidentielle

Le protocole du dépôt confirme indirectement ces allégations. Samuel Mvondo Ayolo accompagnait personnellement Jean Nkuete à ELECAM, témoignant de la supervision directe du Cabinet Civil sur cette mission stratégique.

Cette présence du DCC aux côtés du SG du RDPC illustre parfaitement la nouvelle donne révélée par Boris Bertolt. L’administration présidentielle semble avoir pris le contrôle des opérations partisanes traditionnelles.

Ces révélations interrogent sur l’évolution des rapports entre le RDPC et la présidence, mais aussi sur les mécanismes de décision au sommet de l’État. Un changement silencieux dans l’exercice du pouvoir camerounais pourrait être en cours.



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