Dschang patron enflamme employé → Choc essence


Dschang horreur – NYA BRUNO alias Papa Guinée, propriétaire d’un bar, verse de l’essence sur son jeune employé et l’enflamme pour 70 000 FCFA manquants. Cette scène d’horreur s’est déroulée dans l’Ouest-Cameroun après que le patron ait accusé son employé de vol dans sa caisse. Malgré les clameurs d’innocence du jeune homme, l’agresseur a commis cet acte barbare avec essence et allumettes. La victime se trouve actuellement dans un état comateux.

Agression barbare pour 70 000 FCFA manquants

L’agression Dschang essence révèle la brutalité extrême de NYA BRUNO, propriétaire d’une structure spécialisée dans l’alcool, la prostitution et le trafic de stupéfiants. L’homme a accusé son jeune employé d’avoir dérobé 70 000 FCFA dans sa caisse.

Face aux protestations d’innocence du jeune garçon, le patron a franchi le cap de l’irréparable. Il est allé chercher de l’essence et des allumettes pour commettre cet acte d’une violence inouïe sur son propre employé.

Cette tentative d’homicide pour une somme relativement modeste révèle la mentalité criminelle de cet individu qui n’hésite pas à recourir aux méthodes les plus barbares. Le jeune homme clame toujours son innocence dans cette affaire de vol présumé.

Victime dans le coma, bourreau protégé

L’état critique de la victime Dschang brûlée soulève des questions urgentes sur la prise en charge médicale et la justice. Le jeune employé se trouve actuellement dans un état comateux, luttant entre la vie et la mort.

Pendant ce temps, des allégations troublantes circulent sur la protection dont bénéficierait NYA BRUNO. Selon nos sources, «le bourreau est couvert par les autorités chez qui une partie de la recette de ses activités illicites est reversée».

Cette situation scandaleuse suggère un système de corruption qui permettrait à ce criminel d’échapper aux poursuites malgré la gravité de son acte. Les activités illégales du bar serviraient de monnaie d’échange pour acheter une impunité révoltante.

Cette énième scène d’horreur à Dschang interpelle sur l’état de droit et la protection des citoyens face à de tels prédateurs.

Comment de tels actes barbares peuvent-ils encore se produire impunément au Cameroun ?



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