Le Colonel Zambo Nguema vient d’être tué dans un accident tragique à Bamenda ce jour. Un camion roulant à vive allure a perdu ses freins et heurté de plein fouet le véhicule de l’officier supérieur à Up Station. Ce drame révèle les dangers mortels des poids lourds sans visite technique qui traversent impunément les contrôles routiers camerounais.
Cette tragédie soulève des questions cruciales sur la sécurité routière nationale.
Accident mortel Up Station révèle failles sécuritaires
La mort du Colonel Zambo Nguema expose les dysfonctionnements graves du système de transport camerounais. Ce « terrible drame » survient à Up Station, zone réputée dangereuse pour les accidents de poids lourds incontrôlés.
Le camion impliqué « roulant à vive allure a perdu ses freins » avant de percuter mortellement le véhicule militaire. Cette défaillance mécanique tragique illustre les risques que font courir les véhicules non entretenus sur les routes camerounaises.
L’impact « de plein fouet » n’a laissé aucune chance de survie à l’officier supérieur, témoignant de la violence de cette collision. Cette perte humaine dramatique endeuille les Forces armées camerounaises et interroge sur la protection des usagers de la route.
L’accident survient dans un contexte où les contrôles routiers semblent défaillants face aux véhicules dangereux circulant quotidiennement sur les axes camerounais.
Semi-remorques sans contrôle traversent impunément barrages
Cette tragédie révèle un scandale sécuritaire majeur au Cameroun. « Ces camions, semi-remorques qui roulent sans visite technique traversent les contrôles de gendarmes et policiers » selon les témoignages recueillis.
Cette situation dénonce l’inefficacité des contrôles routiers censés garantir la sécurité publique. Les forces de l’ordre laissent circuler des véhicules potentiellement mortels sans vérification technique appropriée.
L’absence de visite technique obligatoire pour ces poids lourds constitue une bombe à retardement sur les routes camerounaises. Chaque jour, des véhicules défaillants menacent la vie des usagers comme l’illustre tragiquement ce décès.
Cette négligence administrative coûte désormais la vie à un officier supérieur des Forces armées. Elle questionne directement la responsabilité des autorités dans la prévention des accidents routiers.
La mort du Colonel Zambo Nguema doit servir d’électrochoc pour réformer urgemment le système de contrôle technique des véhicules lourds au Cameroun.
Cette tragédie poussera-t-elle enfin les autorités à renforcer les contrôles routiers ?
