Le glamour et les sourires de façade de la cérémonie du Ballon d’Or camerounais dissimulaient une réalité bien plus tumultueuse. Alors que les caméras s’attardaient sur les trophées scintillants et les discours convenus, notre équipe d’investigation de 237online était en coulisses pour capturer ce que personne n’était censé voir. Révélations exclusives sur une soirée où les vraies émotions se jouaient loin des projecteurs.
La réconciliation Eto’o-Kombi : ce que les micros n’ont pas capté
Les téléspectateurs ont assisté à ce qui semblait être une touchante réconciliation entre Samuel Eto’o et le ministre Mouelle Kombi. “Excellence Monsieur le ministre, le président d’une de vos fédérations que je suis, vous dit merci.” Mais ce que les caméras n’ont pas montré, c’est l’échange glacial qui a suivi en coulisses.
Des témoins privilégiés rapportent que cette réconciliation publique aurait été orchestrée sous la pression de hautes instances politiques, inquiètes de l’image désastreuse renvoyée par cette guerre fratricide au sein du football camerounais.
Le public s’est interrogé sur l’absence remarquée de Naomi Leslie Ndjoah Eto lors de son couronnement comme Ballon d’Or féminin. Sa mère, montée sur scène pour recevoir le trophée, cachait mal son émotion. Mais la vérité est bien plus troublante.
