Valère Bessala vient de lâcher une bombe qui secoue l’establishment politique camerounais. Selon le guide de la Jouvence, le départ annoncé de Paul Biya marquera non seulement la fin d’un régime, mais aussi celle d’une opposition vieillissante qui l’a accompagné pendant 43 ans.
La fin d’une époque pour l’opposition historique
La présidentielle de 2025 s’annonce comme le chant du cygne pour la vieille garde de l’opposition. “La nouvelle génération ne veut plus les voir”, assène Bessala, marquant ainsi l’urgence d’un renouvellement générationnel dans le paysage politique camerounais.
Cette transition annoncée ouvre la voie à une nouvelle génération de leaders politiques. Bessala se réjouit de voir émerger des figures plus jeunes à la tête des partis d’opposition, signalant peut-être la fin d’une ère où l’opposition semblait figée dans le temps, comme cristallisée depuis les années 80-90.
