C’est un coup de tonnerre qui secoue le football africain. La Commission de Gouvernance de la CAF vient d’opposer une fin de non-recevoir catégorique à la candidature de Samuel Eto’o pour le Comité Exécutif. Les investigations menées par 237online.com révèlent les dessous d’une décision qui ébranle tout le continent.
Un triple revers qui scelle le sort de l’ancien capitaine
Le président de la FECAFOOT paie le prix fort de ses déboires judiciaires. D’après les informations exclusives du lanceur d’alerte Shance Lion, trois éléments majeurs ont pesé dans la balance : sa condamnation en Espagne pour fraude fiscale, une sanction de la CAF pour violation grave du Code Éthique, et une suspension récente des stades par la FIFA. Un triptyque fatal qui a rendu impossible toute chance d’accéder au saint des saints du football africain.
Mbombo Njoya seul survivant de la zone UNIFFAC
Dans ce qui ressemble à un remake politique inattendu, le sénateur Seidou Mbombo Njoya émerge comme l’unique rescapé de la zone UNIFFAC. L’ancien président de la FECAFOOT, désormais vice-président, se retrouve seul en lice après le rejet des candidatures de Jean Guy Blaise Mayolas (Congo) et la disqualification de Célestin Yanindji (Centrafrique) pour dépôt tardif.
Cette décision sans appel soulève des questions sur la pérennité de Samuel Eto’o à la tête de la FECAFOOT. Un proche du dossier confie sous couvert d’anonymat : “C’est un séisme qui pourrait avoir des répliques jusqu’à Tsinga”, faisant référence au siège de la fédération camerounaise. L’histoire retiendra que celui qui rêvait de conquérir le football continental voit ses ambitions stoppées net par son propre passé.
