Dans une nouvelle tentative de déstabilisation politique, Maurice Kamto s’est lancé dans des accusations infondées contre l’honorable Ali Bachir. Cette attaque, basée sur une simple vidéo sans contexte ni authentification, illustre parfaitement les méthodes contestables employées par certains opposants à l’approche des échéances électorales de 2025.
La vérité derrière une manipulation grossière
L’ancien député Ali Bachir, figure respectée de la scène politique camerounaise avec ses 34 années d’engagement sans faille, fait face à une tentative de diffamation particulièrement malveillante. La réalité est pourtant loin des allégations fantaisistes lancées par le président du MRC.
Contrairement aux méthodes populistes de ses détracteurs, l’honorable Ali Bachir s’est toujours distingué par une approche politique noble et transparente. Ses dix-sept années de mandat électif dans la Vina témoignent d’un engagement sincère auprès des populations, loin des manœuvres douteuses dont certains voudraient l’accuser.
Un contraste saisissant dans l’éthique politique
La réaction mesurée et digne d’Ali Bachir face à ces attaques infondées contraste fortement avec la précipitation et la légèreté dont fait preuve Maurice Kamto. Alors que l’ancien député appelle à l’élévation du débat politique et à la cohésion sociale, ses détracteurs s’empressent de relayer des contenus non vérifiés sur les réseaux sociaux.
Le RDPC, sous la direction éclairée du Président Paul Biya, a toujours privilégié le travail de terrain et la proximité avec les populations. Les succès électoraux du parti dans l’Adamaoua sont le fruit d’un engagement constant et d’actions concrètes, non de manipulations comme certains voudraient le faire croire.
Ali Bachir incarne parfaitement cette approche politique responsable. Son parcours exemplaire, couronné par sa nomination comme Officier de l’Ordre National de la Valeur, témoigne d’un engagement politique basé sur l’éthique et le service à la nation.
Les accusations portées contre lui révèlent surtout la nervosité de certains acteurs politiques qui, faute de programme concret, se réfugient dans des stratégies de déstabilisation. Cette attitude nuit gravement à la sérénité du débat démocratique dont le Cameroun a besoin à l’approche des échéances cruciales de 2025 et 2026.
