La répression Jedolo Cameroun entre dans une phase décisive avec la mobilisation totale du ministère de la Promotion de la Femme. Depuis trois semaines, la ministre Marie Thérèse Abena Ondoa mène une offensive sans précédent contre la plateforme pornographique qui exploite des mineures camerounaises. Cette bataille gouvernementale révèle l’ampleur d’un fléau qui gangrène la jeunesse du pays. Découvrez les dessous de cette guerre numérique historique.
Ministre Abena Ondoa : offensive totale contre Jedolo
La découverte du site pornographique Jedolo a déclenché une réaction gouvernementale immédiate. Le ministère de la Promotion de la Femme et de la Famille (Minproff) a saisi l’Agence nationale des Technologies de l’Information et de la Communication (Antic) pour une expertise technique approfondie.
«Nous attendons la réaction à notre correspondance. Nous devons faire savoir Jean Baptiste Nyebel, sous-directeur en charge de la Promotion de la Protection des droits de l’enfant au Minproff», déclare un responsable ministeriel.
Cette action gouvernementale fait suite aux multiples dénonciations sur les réseaux sociaux. La plateforme qui recrute et exploite sexuellement des jeunes filles à peine pubères inquiète profondément les autorités camerounaises.
Exploitation sexuelle : révélations choc sur le réseau Jedolo
Les investigations révèlent un système d’exploitation particulièrement pervers. Les jeunes filles sont souvent réservées aux «personnes d’un certain âge» qui sollicitent difficilement des rapports sexuels ailleurs.
Le mode opératoire dévoile une industrie de la prostitution infantile déguisée. Les promoteurs de cette plateforme appellent à la fermeture par contre invitation des parents à se mobiliser dans l’encadrement de leurs enfants.
«Un enfant bien encadré et aux petits soins ne peut pas du jour au lendemain, se mettre à se vendre sur internet», souligne Jean Baptiste Nyebel du Minproff.
Cette répression Jedolo Cameroun marque un tournant dans la lutte contre l’exploitation numérique des mineurs. Le gouvernement camerounais démontre sa détermination à éradiquer ces pratiques criminelles qui détruisent l’avenir de la jeunesse.
Comment pensez-vous que le Cameroun peut mieux protéger ses enfants des prédateurs numériques ?
